Un bilan a été rédigé afin de décrire, résumer et évaluer le projet de lutte au myriophylle à épis. Cliquez ici pour consulter le bilan.

• Obtention de subventions du Regroupement des organismes de bassins versants du Québec ou ROBVQ et de la Fondation de la faune du Québec ou FFQ, d’où une intensification des travaux.
• Bâchage de sites dans les baies Carbuncle et Ély dans Racine, dans la baie Petit Brompton à St-Denis et à l’entrée du marais avec arrachage manuel sur tous ces sites.
• Suivi des sites bâchés les années précédentes.
• Projet expérimental d’estacade dans le marais afin de retenir les débris de myriophylles à épis.
• Trois patrouilleurs plutôt que deux à l’œuvre durant 3 mois.
• Obtention d’une année supplémentaire au Certificat d’autorisation de bâchage.
• Nouvel inventaire (cliquez ici pour le consulter) des plantes aquatiques débuté afin de cibler les prochaines interventions. La section du marais sera réalisée en 2021 par les patrouilleurs supervisés par le RAPPEL.

• Poursuite des activités de bâchage sur deux nouveaux sites, herbier dans la baie au nord de la Pointe Rocheuse dans Racine et herbier dans la baie Nickel à St-Denis et retour sur le site bâché en 2018 pour couvrir une plus grande superficie.
• Ajustement de la stratégie de lutte en complétant le bâchage par de l’arrachage manuel avec aspirateur sous-marin ou aspiriophylle pour nettoyer le pourtour de l’herbier à 100%.

• Demande et obtention d’un certificat d’autorisation du MELCC et du MFFP pour un projet de bâchage de toiles de jute (49 800 mètres carrés).
• Couverture d’herbiers de 8 400 mètres carrés à l’entrée du marais; supervision par le RAPPEL et contribution d’une trentaine de bénévoles. L’opération a connu un franc succès et a été largement couverte par les médias locaux dont Radio-Canada Estrie et La Tribune qui ont fait des reportages sur les lieux.
• Installation de 26 bouées de signalisation pour avertir de la présence d’un herbier de myriophylle à épis et de signaler l’importance de ne pas circuler dans ces sites afin d’éviter la propagation de la plante.

• Projet pilote d’arrachage manuel avec plongeurs: non concluant, la densité et la taille des herbiers ne s’y prêtent pas.
• Installation d’affiches flottantes pour éviter toute circulation dans les herbiers.
• Patrouille verte environnementale en action 7 jours sur 7 pour sensibiliser les usagers du lac et distribution d’information sur le myriophylle à épis, en juillet et août lorsque les conditions de navigation le permettaient.

• Inventaire (lien vers le document) par biologistes des plantes aquatiques du lac Brompton: le lac comporte 90 herbiers où le myriophylle à épis domine.
• Prise de conscience de l’existence du problème (EAEE).
• Création d’un club de Grands protecteurs qui, par leur contribution financière, ont créé un Fonds pour financer les projets reliés à la protection du lac.